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Imaginez un monde où tous ceux qui ont fait un jour l'Histoire se retrouvent tous au sein d'un seul et même endroit, obligés de cohabiter tous ensemble.
Situé en centre ville, le café est le lieu idéal pour passer un peu de temps avec son choix de boissons chaudes et froides ainsi que ses pâtisseries et viennoiseries. Tout le monde est libre d'y passer quelques instants et côtoyer, voir discuter avec en le sachant ou non aussi bien des alliés que des ennemis. Cet endroit tranquille est donc un lieu neutre pour tous.
En ce mois de septembre, le fond de l'air était bien frais. Et Louise étant sensible au froid s'est vêtue d'un lourd manteau et protégé par une écharpe qu'elle remontait les ruelles de la ville. Le calme régnait, un calme dérangeant qui s'installer doucement. Peut-être pour se transformer au final en calme bienfaisant ? Ou alors pour évoluer dans un éclat de violence. Peut-être pour se transformer au final en calme bienfaisant ? Voilà Pourquoi la ville était devenu si calme petit à petit. Mais la mafia avait elle été entièrement démonté ? Ou quelques membres restaient ils ? Cachés et prêt à agir. Le calme peut en effet couver une épouvantable tempête. Et la ville n'était pas à l'abri d'une terrible vendetta de la mafia. Perdue dans ses réflexions Louise remarqua que ses pas l'avait conduise au café. La jeune femme y entra. Il y avait à l'intérieur tellement de vie. Des clients riaient, les serveurs et serveuses étaient souriants. Si on vous disait qu'il y a quelques jours un membre de la mafia avait failli lâcher une bombe à l'intérieur vous y croirez ? Pourtant ce fut le cas. Il était arrivé, comme une tempête dans une paisible prairie, menaçant de tout ravager. Le pire pour une raison un peu exagéré. La jeune femme soupira en ce souvenant de ce moment, elle enroula ses doigts autour de la tasse de café qu'elle avait commandé. Profitant tranquillement de la chaleur qu'elle diffusait. Peut-on tenir coupable et responsable un fou, qui en plus de ça avait développer un propre amour ? Bonne question. Car Louise avait recroisé par hasard cet agent de la mafia dans l’hôpital de la ville. Et effectivement cet homme avait vraiment besoin d'aide. La vie est d'une telle complexité... Le regard de Louise s'attarda sur l'ensemble de l'intérieur du café, essayant de voir si elle y reconnaissait quelqu'un.
Le temps était agréable depuis quelques jours, c'était tout simplement parfait pour en profiter, et l'irlandaise ne faisait pas exception Elle n'avait rien d'urgent à faire au niveau de son travail, ce qui la confortait dans son intention de faire une pause. Poussant la porte du café, dont elle était presque une habituée, elle scanna la salle du regard à la recherche d'un visage familier. Le premier qu'elle vit fut celui du propriétaire avec qui elle flirta un peu, puis se posa à l'une des tables encore libre.
Ce simple lieu demeurait un lieu parfait à ses yeux. Aussi bien pour se détendre que pour observer certaines personnes sur lesquelles elle avait un contrat assez conséquent. Son thé arriva assez rapidement, sans même qu'elle eu besoin de le commander, et en plus accompagné d'un " c'est la maison qui offre". Ce fut loin d'être la première fois que cela se produisait. Elle accepta sans trop de difficulté avant de touiller en réfléchissant aux derniers événements survenus. Certes elle n'y avait pas participer, mais comment ne pas les prendre en compte ? D'autant plus que cela risquait d'affecter ses affaires aussi bien dans le bon que dans le mauvais sens.
Des rumeurs avaient commencé à circuler sur le fait qu'une personne reprenait déjà les rênes de l'organisation mafieuse. À savoir si elles se révélaient véridiques ou non. Et surtout, s'il allait continuer à faire appel à son agence. L'avenir allait bien le lui dire. Pour l'instant, elle voulait penser à autre chose qu'au travail.
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Sujet: Le café 
